Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 9 mars 2024

jacques halbronn L''astrologie conditionaliste ne mer pas en avant l'appartenance sexuelle qui est déterminante

Jacques halbronn L'astrologie conditionaliste ne met pas en avant l'appartenance sexuelle. qui est déterminante On peut regretter que JEan Pierre Nicola n'ait pas accordé plus d'importance au déterminisme sexuel pour venir compléter son astrologie conditionaliste. Si l'on considére le texte ci-dessous, l'on note au contraire une volonté de rechercher la dualité du genre dans les données mêmes de l'astrologie, ce contre quoi, apparemment, Nicola entendait s'opposer: Sur Internet "L'astrologie conditionaliste est un courant de l'astrologie française. Pour ce mouvement, l'homme est influencé par l'hérédité, appelé l'héritage terrestre, et par le système solaire, appelé l'héritage céleste. Il ne prétend plus faire des prédictions exactes comme gie classique, mais affirme que la psychologie des individus dépend de la position des astres.", l'on nous parle d'un "héritage terrestre", ce qui est bien vague et peut englober tellement de facteurs alors que la question du genre est le marqueur central de la dualité, laquelle joue un rôle essentiel dans la tradition astrologique. L'on peut lire aussi le texte suivant: "Les marqueurs du genre (ou du non-genre) en astrologie Que disent les textes anciens sur le sujet du genre ? Ptolémée dans son ouvrage Tétrabible, classait les planètes féminines (Lune, Vénus), masculines (Soleil, Mars, Jupiter, Saturne) et androgynes (Mercure). « Vu qu’il y a deux genres principaux, le masculin et le féminin, il faut, entre les susdites natures des planètes, approprier celles qui sont humides à une nature féminine, car les choses appartenant à ce sexe sont universellement les plus humides. Quant aux plus chaudes, elles s’accordent avec le sexe masculin. » (Tétrabible I-6) Les signes sont, par ailleurs, généralement classés en signes actifs/masculins/positifs d’un côté et passifs/féminins/négatifs de l’autre. Même s’il ne faut pas y voir une portée discriminatoire, il est clair que le choix des termes peut paraître aujourd’hui discutable malgré tout. Les astrologues actuels parleront donc plutôt de polarités actives/passives, tout en conservant cette classification.Qu’observe-t-on dans les faits ? Les problématiques de « genre » ou simplement « d’identité » ont après tout, sans doute, toujours existé. Sans grande surprise, on retrouvera les planètes dites indifférenciées (Neptune, Mercure), la prédominance des signes mutables ou doubles et, précisément, des dissonances entre planètes actives et passives (Soleil/Lune, Mars/Vénus)". En fait, la recherche astrologique doit fonctionner sur deux plans, le conditionnement astral et le conditionnement sexuel. Or, on ne trouve pas, à notre connaissance, d'exposé en astrologie conditionaliste consacré au conditionnement proprement sexuel, de genre, comme s'il s'agissait d'une donnée parmi tant d'autres! On a vu que la tentation est grande de s'accrocher au conditionnement astral pour appréhender le comportement d'une personne. Mais celui-ci ne dépend-il pas de l'appartenance de genre? Autrement dit, Nicola ne sera pas allé jusqu'au bout de se réflexion anthropologique censée compléter l'approche proprement astrologique et comme il le reconnait par ailleurs, c'est ouvrir la boite de Pandore que d'en rester à une formulation aussi vague alors que les données sexuelles auraient du être placées au centre d'une anthropocosmologie, en tant que donnée objective et incontournable et non pas comme facteur supplétif!. (cf GUIDE DE LA VIE ASTROLOGIQUE 2006-2007 Unblog.fr http://maqor.a.m.f.unblog.fr › files › 2017/08) . Selon nous, le sexe est un facteur fixe, constant en dialectique avec la cyclicité astrologique pour qui le psychisme des humains est tributaire collectivement des phases planétaires. En pratique, les femmes sont sous tendues par les phases solsticiales de Saturne et les hommes par ses phases équinoxiales. Et donc, on ne peut comprendre ce qui se passe au cours d'une de ces phases si l'on n'a pas réussi à décrire le masculin et le féminin comme étant des marqueurs des dites phases. C'est dire que la recherche astrologique ne peut pas se passer d'un tel descriptif du genre. D'un point de vue sociologique, nous avons souligné, par le passé, que l'attirance pour le thème natal pourrait être un symptome de la difficulté à s'assumer comme homme ou comme femme et cela pourrait au fond expliquer pourquoi Nicola n'aura pas cru bon d'approfondir le phénoméne en tant que tel sui generais. JHB 10 03 24

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