Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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jeudi 14 mars 2024

Pierrre Alain Gouanvic "Jacques halbronn et le stellarisme"(2011)

Pierrre Alain Gouanvic "Jacques halbronn et le stellarisme"(Wikipedia) Section Critiques (Halbronn) J'ai ôté cette section : == Critiques == {{Référence insuffisante|Les travaux de [[Jacques Halbronn]] signalent une lacune grave dans la détermination des configurations considérées, du fait que l'on ne tient aucun compte des aspects entre planètes et étoiles fixes.(voir Journal de bord d'un astrologue, site teleprovidence.Com)}} Raison : comparez avec ce qu'Halbronn dit vraiment : Au cours de la première décennie, l’on vit apparaître en France ce que l’on a parfois appelé le « stellarisme », autour de certaines étoiles fixes, notamment les quatre appelées « royales » qui divisaient le zodiaque selon une sorte de quadrilatère. C’est ce qu’on a appelé quelquefois « L’Astrologie Quatre Etoiles » (2). L’intérêt du stellarisme tenait notamment au fait que l’on ne tenait pas compte d’un quelconque découpage du zodiaque , dans la mesure où ce qui comptait était fonction de certains aspects entre planètes (en fait Saturne, principalement) et étoiles. Mais la voie du stellarisme allait aboutir à une impasse (3), dans la mesure où les résultats sur le terrain étaient par trop décalés par rapport au modèle, ce qui impliquait d’accepter des orbes excessives, au-delà desquelles les repères ne font plus guère sens. Or, il est apparu que le passage d’une phase à l’autre coïncidait étrangement avec l’ayanamsa généralement estimé à 24-25°, soit le décalage entre les deux zodiaques. Source : Jacques HALBRONN - Le Retour du sidéralisme au cours de la deuxième décennie du XXIe siècle En fait, Halbronn considère que l'échec de ce stellarisme (aspects étoiles-planètes) prouve le sidéralisme. Dommage quand même qu'il ne soit pas question des aspects étoiles-planètes avec des étoiles qui ne sont pas, contrairement à Pléiades-Aldébaran-Régulus-Antarès (je suppose que c'est de ça qu'on parle), à proximité de l'écliptique. Existe-t-il des astrologues qui se posent la question de l'aspect réel entre, disons, Sirius, qui est bien loin de l'écliptique, et les planètes? --Pierre-Alain Gouanvic Ubuntu! 9 août 2011 à 05:53 (CEST)

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