Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 30 mars 2024

jacques halbronn Astrologie. Faut-il continuer à intégrer la planéte Neptune dans le clavier astrologique? Quid de la Loi de Bode?

Jacques halbronn Astrologie. Faut-il continuer à intégrer la planéte Neptune dans le clavier astrologique? Quid de la loi de Bode? Dans son Astrologie scientifique simplifuée (Ed Jep (Reed 1964, p. 17); Max Heindel (né Carl Louis von Grasshoff, né le 23 juillet 1865 à Aarhus et mort le 6 janvier 1919 à Oceanside, est le fondateur de la Rosicrucian Fellowship, basée à Mount Ecclesia, Oceanside, en Californie) mettait en doute, il y a plus d'un siècle, l'usage astrologique de la planéte Neptune en soulignant l'importance du 7 en se référant par ailleurs à la Loi de Bode laquelle "colle" avec Uranus et les Astéroïdes (Cérés, découvert en 1801) Sur le web: " Corroborée en 1781 par la découverte d'Uranus, la loi de Bode est mise en échec en 1846 par celle de Neptune et ne donne plus de résultats probants au-delà. Distances relatives entre les planètes du Système solaire (les tailles des planètes ne sont pas à l'échelle)". On sait toute l'importance qu'André Barbault accordait à la conjonction Saturne-Neptune dans les années cinquante (l'année 1953) puis dans les années 90 (l'année 1989) du siècle dernier sans parler de l'intégration de Neptune dans son 'indice cyclique". En fait, le cas de Neptune se distingue de celui d'Uranus, au regard de la loi de Titius Bode (1772) On sait que Jean Pierre Nicola n'hésita pas à constituer un groupe de trois planétes dans son "RET: Uranus Neptune-Pluton; complétant les deux premiers groupes Soleil-Mercure Vénus et Mars -Jupiter-Saturne, la Lune étant mise à part (voir ses "Nombres et formes du cosmos", 1977). On pourrait évidemment affirmer que les travaux de Barbault auront validé la place accordée à Neptune et que l'affaire est entendue. Mais jusqu'à quel point, peut-on négliger notamment le fait que Neptune est invisible à l'oeil nu ou que la durée de sa révolution sidérale dépasse la longévité humaine à la différence d'Uranus avec ses 84 ans? Pour notre part, nous avions intégré Uranus au sein d'un quatuor ( Mars, Jupiter, Sature, Uranus) notamment dans notre plaquette "Astrologie sensorielle" (in revue Cosmopolitan, fin 1976) en rapport avec les 4 sens (vue, ouie, gout, odorat) Uranus est en effet visible par l'oeil humain: Sur le web: "Bien qu'on l'observe peu, Uranus est pourtant théoriquement visible à l'œil nu si le ciel est bien noir car sa magnitude oscille entre 5,3 et 5,9." Quant à Michel Gauquelin, il déclarait n'avoir rien trouvé de concluant pour le lever et la culmination d'Uranus, à la naissance des personnalités retenues dans son corpus. En revanche, la Loi de Bode intégre tout à fait les divers astéroïdes (Cérés etc) situés entre Mars et Jupiter, ce qui fait un peu désordre. Néroman leur accordait une place dans son dispositif des maîtrises. Il semble bien que le systéme solaire a pu être réaménagé à une certaine époque et qu' Uranus, au niveau anthropocosmologique aura laissé la place à notre satellite, la Lune, dont la révolution est le tiers de celle de Mercure, ce qui la fait correspondre aux chiffres de la Loi de Bode. Cette Lune que Gauquelin aura validée astrologiquement à la différence de Neptune et de Pluton (découvert en 1930) Lune qui comporte les mêmes chiffres que ceux de Saturne: le 28 et le 7 . On (les "dieux") aurait donc constitué une nouvelle version du systéme solaire autour d'un axe Lune Saturne, excluant Uranus avec six astres Lune Mercure vénus Mars Jupiter et Saturne, le Soleil étant le vecteur central. Si l'on revient sur les résultats et modéle Barbault , signalés plus haut, nous avons montré que dans les cas étudiés, la présence de Neptune n'était pas nécessaire car la conjonction était assez concomitante du passage de Saturne sur les axes saisonniers. C'est particulièrement le cas en 1989 quand Saturne était au début du signe du Capricorne (signe du solstice d'hiver) en même temps qu'il se conjoignait avec Neptune. En revanche, dans Clefs pour l'astrologie (Ed Seghers 1976), nos courbes sinusoidales pointent cette date. Par la suite, nous avons décalé le début des phases et le capricorne correspond au milieu et non plus au début d'une phase solsticiale, soit à son maximum sur une période de 7 ans.. Rappelons enfin les malheurs de Pluton, ce qui ne semble pas avoir beaucoup troublé les astrologues..... sur le web "En août 2006, Pluton a perdu son statut de neuvième planète du Système solaire. A la suite d'un vote de l'Union astronomique internationale, elle s'est vue rétrogradée en planète naine. La raison principale de ce changement d'appellation provient d'une redéfinition de ce qu'est une planète" JHB 30 03 24

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