Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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lundi 26 août 2024

jacques halbronn Calendrier astrologique versus calendrier constitutionnel. Le point aveugle.

jacques halbronn Calendrier astrologique versus calendrier constitutionnel Le point aveugke La dissolution ne doit pas être confondue avec les élections législatives lesquelles sont censées être programmées de longue date, notamment depuis le passage du septennat au quinquennat, dont l'objectif déclaré consistait, depuis 2002, à aligner les législatives sur les présidentielles; "Cette réforme n'est appliquée qu'à l'élection présidentielle suivante, en 2002, qui voit Jacques Chirac réélu devenir le premier président de la République à effectuer un quinquennat (2002-2007) Rappelons qu'en 2002, la Gauche n"était pas parvenue au second tour pas plus que cela ne sera le cas en 2017 et 2022 et qu'elle sera sommée de participer à un 'Front Républicain", ce qui a dû lui laisser un goût amer/ . Il sera ensuite limité à deux mandats consécutifs par la révision constitutionnelle de 2008." Qu'est ce donc que ce droit attribué au Président, dès le début de la Ve République, de "dissoudre" l'Assemblée Nationale, ce qui entrainerait automatiquement un changement de gouvernement. Comment se fait il que le passage au quinquennat n'ait pas été l'occasion de revoir la question de la dissolution dès lors que la dissolution affecterait le couplage avec les présidentielles à moins de procéder à une dissolution à ce moment là C'est d'ailleurs ainsi que Mitterrand procéda tant en 1981 qu'en 1988 mettant fin à une majorité (depuis 1978 et 1986 ) qui n'était pas de son bord. On se demandera d'ailleurs pourquoi Jacques Chirac n'aura pas décidé de dissoudre l'Assemblée, durant sa cohabitation de 5 ans avec Lionel Jospin (1997-2002) comme il en avait le droit, un an après la précédente) Mais dans le cas d'Emmanuel Macron, comment comprendre la dissolution du 10 juin 2024? Espérait -il renforcer sa "majorité relative" alors même que le Rassemblement Nationale était sorti en tête des élections européennes du 9 juin? Cela fait penser à De Gaulle et à son appel du 18 juin 1940 au lendemain même de la signature de l'armistice avec l'Allemagne, accepté par Pétain. Selon nous, il faudrait aller voir du côté de notre Astrologie "Cardinale" avec le passage de Saturne en Poissons, à la sortie d'une période "verseau" en signe fixe dont nous pensons qu'elle constitue une sorte de blocage, de suspension. De la même façon, l'incursion ukrainienne appartiendrait à ce refus de supporter plus longtemps une situation de passivité qui n'aurait que trop duré. L'on voit que le calendrier astrologique interfère avec un calendrier constitutionnel, bien artificiel. Que va -t-il advenir, au bout du compte? Quel sera le résultat des courses? Selon nous, dès lors qu'une dissolution est prononcée par le Président de la République, il nous semble qu'il lui revient d'en tirer les conséquences. Or, la nomination d'un Premier Ministre échappe comme la dissolution au calendrier constitutionnel et en ce sens, elle intéresse davantage l'astrologie que le calendrier en question, cela fait partie des priviléges du Président. Paradoxalement, le Président ne serait pas tant le garant des institutions que le "deus ex machina" qui permettrait de s'en émanciper. Reste donc au président de gérer la nomination d'un premier Ministre et là encore, il pourrait le faire pendant un an, jusqu'à une prochaine élections législative en imposant le Premier Ministre de son choix, sans avoir de compte à rendre à la dite Assemblée sur ce point sauf dans le cas d'une majorité absolue, ce qui n'est pas le cas. JHB 26 08 24

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