jacques halbronn Psychosociologie. Déni de dualité. Déni d'alternance

jacques halbronn Psyuhosociologie Déni de dualité égale déni d’alternance. On ne saurait jouer à nier les différences, vu que celle-ci conditionnenent pleinement tout processus d’alternance; Or, si la démocratie implique de l’alternance, cela signifie que la société doit impérativement assumer de la dualité en son sein, ce qui ne signifie nullement l’exstence d’un équilibre quantiatif. Entendons par qu’il peut tout à fait exister des ensembles de tailles totalement inégale et qui n’en alterneront pas moins; C’est dire que le vote n’est pas la solution puisqu’il privilégie le nombre. Le role d’une constitution est d’imposer des régles du jeu et non pas de laisser celles-ci à la merci du plus grand nombre, d’une « majorité ». Ce n’est qu’en phase dite équinoxiale (axe Bélier-balance) que l’on peut fonctionner dans le registre du quantittaif et non pas en phase solsticiale de Saturne. De même, selon notre philosophie constitutionnelle, les dates des changements de phase ainsi que les valeurs et les programmes qui s’en suvent ne sauraient être traitées de simples options le changement de tendance n’est pas un droit mais un devoir, ce n’est ni négociable ni contingent. Le Déni a un double coût en ce qu’ils gaspilles des énergies dans la résistance et en ce qu’il prive une société, il la mutil, de certaines forces vives. Encore faut-il répondre à deux questionnements: D’une part,en quoi consistent les différences les plus significatives, donc les plus opérationnelles et à quels moments, celles-ci sont requises, mobilisables. JHB 01 08 24