Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 13 mars 2021

De Gaulle en mai 68 est déterminé par son Axe Stellaire de Quadrature de façon mathématique

Jacques Halbronn De Gaulle en mai 968 est déterminé par son Axe stellaire de quadrature de façon mathématique Il est remarquable que les astrologues ne s’intéressent qu’à ce qui vient non pas valider l’Astrologie mas leur astrologie et ne célébreront pas les réussites prévisionnelles qui ne vont pas dans le sens de cette astrologie en ce que cela disqualifierait ipso facto la leur! Inversement, tout facteur même douteux et tiré par les cheveux qui viendrait valider leur savoir faire sera salué. C’est ainsi que l’on n’aura pas insisté sur notre succès prévisionnel pour le mouvement social de la fin 1995 parce que cela s’articulait sur une approche non conforme de l’astrologie cyclique à la Barbault puisque la brochure qui la comportait s’appelait « L’astrologie selon Saturne » (1994) Il s’agissait d’un travail sur une dizaine de passages de Saturne sur la meme zone céleste lequel travail s’achevait par une prévision pour la période à venir. Inversement, un échec sera passé sous silence s’il risque de discréditer un systèmé auquel on est attaché. Tel est le climat intellectuel qui régne depuis longtemps dans le milieu astrologique, les chercheurs renouvelant les méthodes étant encore moins bien vus que les antiastrologues jugés moins dangereux! L’esprit scientifique implique de reconnaitre la validité et la validation des travaux des uns et des autres.. On comprend certes André Barbault, dans la revue L’Astrologue, numéro 145 dans un texte intitulé Une mascarade astrologique qui nous prend à partie mais sans nous nommer, échaudé par sa condamnation en diffamation en 78 pour un texte très agressif contre le jeune chercheur que nous étions à l’époque — mais Barbault nous insulte en nous traitant de « quidam », de « voyou » en 2004- ce qui aurait pu justifier un nouveau procés paru dans la même revue, un quart de siècle plus tôt.(cf L’Astrologue n°42, p. 95) La paille et la poutre. Or, on ne voit pas pourquoi on n’aurait pas le droit de questionner les éléments fournis par un « confrère », selon la formule de Barbault lequel semble avoir une vision assez romantique de la recherche astrologique comme lorsqu’il parle d ‘une prévision venue de loin et atteignant un cap grandiose » à propos de 1989 et de la conjonction Saturne-Neptune. Bien entendu, Barbault n’allait pas rappeler ses prévisions ratées, à bien plus court terme, réitérée au Congrès de Paris de 1974 pour les années 1982-83 à partir de son « indice cyclique ». ou pour 1971 avec l’opposition du fameux cycle Saturne Neptune qui fit un flop (La crise mondiale, Denoel 1964). C’est, en doutant, dit-il, de ses résultats » porter directement atteinte à l’astrologie elle-même » Barbault revient sur un autre cycle , celui annuel Soleil Jupiter et là on est dans le très court terme, a contrario, à propos des péripéties de la fin de la Guerre d’Algérie.. A propos, en 2004, alors que se préparait le grand Congrès du 30e anniversaire du Congrès de Paris de 1974, il aurait été heureux que Barbault respecte au moins ce que nous étions devenus 25 ans après 1978 alors qu’il n’avait nullement prévu alors notre trajectoire en dépit de la sortie en 1976 de Clefs pour l’Astrologie ouvrage comportant tout un volet en astrologie mondiale – y compris la reproduction de son graphique de l’indice de concentration planétaire - dont il ne prend pas la peine de faire le bilan, avec le recul du temps! C’est dire à quel point en 2004, alors que tout le gratin de l’astrologie française se préparait à se rendre à Paris, à notre invitation, Barbault se sentait isolé et exaspéré. Donc, d’un coté, Barbault vante un cycle de 36 ans et de l’autre un cycle de 1 ans, soit deux approches totalement différentes de l’astrologie, celle du cycle d’1 ans suivant de très près l’actualité du moment alors que celle du cycle de 36 concernant une période bien lointaine et même 18 ans, avec l’opposition, cela n’avait rien donné de bien concluant, ce dont il tentera de s’expliquer au lendemain de cette prévision décevante -et donc susceptible de discréditer l’astrologie sans que nous ayons eu à intervenir, Barbault faisant le travail tout seul- dans le Pronostic Expérimental en Astrologie (Payot 1973) en bottant en touche, rappelant son pronostic juste à la veille de la mort de Staline, donc à très court terme -et nous ne reviendrons pas ici sur ce point litigieux. Force est de constater que la notion d’événement « grave » reste assez floue: l’astrologue devrait donc se contenter de pointer une année sans préciser autrement ce qu’il en adviendra, ni dans un sens ni dans un autre, ce qui laisse tout de même pas mal de latitude. Comme en 1971-72, cela aurait pu aussi bien être une déconvenue qu’une réussite pour l’URSS et en fait comment qualifier les évenements de 1989?Quelle ambiguité! Si l’on compare avec notre prévision pour 1995 à laquelle Barbault ne fait aucune allusion, dix ans après l’événement, ce qui permettait avec le recul de souligner que rien de comparable ne s’était produit par rapport à mai 68 tant avant notre prévision qu’après, la formule que nous avions employée de « mouvement social » offrait une prévision que Barbault aurait pu souvent nous envier. En fait, Barbault veut tout ignorer de la personnalité, de l’action, de l’oeuvre de celui qui aura osé le contester, crime de lèse majesté et dont, en vérité, il ne veut rien savoir. La mort de Barbault, à la fin de 2019- quinze ans après son texte de 2004- lui aura épargné d’assister à la naissance par son critique de l’Axe Stellaire de Quadrature. A ce propos, en 2004, Barbault évoque des travaux déjà fort anciens de sa part qui remontent aux années cinquante–soixante. Mais entre temps, s’est-il renouvelé, dans le demi-siècle qui suivit la parution des Astres et l’Histoire (Pauvert, 1967) Il ne nous a pas semblé et d’ailleurs, nous avons de bonnes raisons de penser qu’à plus d’un titre Barbault en sera resté à ces décennies50-60. , a t-il repensé sa théorie des aspects après le fiasco du début des années 70.?A-t-il repensé son indice cyclique après le début des années 80? Dans les deux cas, Barbault avait vécu des attentes cruelles! Paradoxalement, au lendemain de notre succés de 1995, nous nous sommes lancés dans une longue réflexion sur les bases du dit succés et ne nous sommes pas endormis sur nos lauriers car le succés peut se révéler un piége et l’échec l’occasion d’une remise en question, que Barbault n’aura pas opérée. Nous avons commencé à trouver que le passage de Saturne sur une zone zodiacale, même à l’approche du 0° Bélier, n’était pas concluant et que notre réussite prévisionnelle pouvait avoir une autre cause. Tout comme Barbault aurait pu se demander si 1989 pouvait s’expliquer autrement que par la conjonction Saturne Neptune puisque cela n’avait pas marché pour l’opposition, qui constitue un temps intermédiaire, comme il l’avait d’ailleurs pensé, se rendant compte qu’un cycle de 36 ans, c’est bien long.(cf Jacques Reverchon, Valeur des jugements et pronostics astrologiques, Yerres (91) 1971) Nous n’avons pas chômé depuis 1995 -cela fait quand même un quart de siècle! - et en sommes arrivés d’une part à passer du cycle de Saturne à celui de Jupiter et d’autre part à nous intéresser à certains aspects des thèmes des leaders en place, par le biais des transits, ce dont Barbault ne voulait pas entendre parler en Mondiale, même quand il traitait de la mort de Staline (Astrologie Moderne, mars avril 1953) tout comme il ne tenait aucun compte des étoiles fixes. Donc, même à partir d’un succés prévisionnel, on peut être amené à y regarder de plus près sinon on se comporte comme un voyant qui s’intéresse plus aux fins qu’aux moyens! Après ce préambule, passons donc à nos récentes découvertes qui datent d’environ un an et qui tiennent surtout à une réflexion théorique. Nous avons eu l’occasion d’exposer notre méthode et nous la résumerons ainsi: contrairement à ce qu’affirme Barbault, ce n’est pas la conjonction qui marque la fin ou/et le début d’un cycle mais la quadrature. A partir du degré du soleil natal, nous constituons l’axe des quadrature, à savoir les deux points au carré du dit soleil et nous nous intéressons aux passage de Jupiter sur les deux points, ce qui forme une sorte de triangle avec le Soleil. Cela découpe deux hémicycles d’une durée de six ans. La fin du cycle correspondra donc à une quadrature de Jupiter au soleil natal et nous nous efforçons de préciser ce que cela implique à savoir la fin d’un processus et éventuellement le début d’un nouveau processus. Quant à la conjonction Jupiter-soleil natal, elle marque une mi-temps et nullement comme l’affirme Barbault une fin ou un commencement. Comme annoncé, nous prendrons le cas du général Charles De Gaulle qui a un soleil natal à 0° Sagittaire et donc un ASQ à 0° Vierge-0° Poissons, ce qui vaut aussi bien dans les deux sens. On aura compris que nous pronons une astrologie minimale: un seul facteur céleste, Jupiter et un seul facteur « terrestre », dans le thème natal, le Soleil. On est loin de l’indice cyclique avec ses 5 planétes, de Jupiter à Pluton ou d’une carte du ciel au complet!. Que s’est il donc passé au printemps 1968 pour De Gaulle et par contre coup pour la France? Ouvrons les éphémérides pour cette période: où se siitue Jupiter par rapport à l’ASQ du Général? A la fin du mois de mai 68, Jupiter passait à 28° du signe du Lion, c’est à dire au carré du soleil natal de De Gaulle, à l’extréme fin du signe du Scorpion! En juin, Jupiter parcourt les derniers degrés du lion et entre en vierge à la moitié du mois. On aura compris qu’une telle corrélation est remarquable. Les événements de Mai 68 refléteraient littéralement ce qui se produit dans le triangle ASQ -Soleil natal. Autrement dit, sans De Gaulle, un tel calendrier n’aurait pu exister! On est en fin de cycle: pour le président de la République, l’expérience engagée six ans plus tôt en 62 arrive à son terme. Jupiter arrive alors fin verseau, au mois de mars de cette année 62, à l’opposé du Jupiter en Lion de Mai 68. Ce sera la fin de la Guerre d’Algèrie qui s’explique beaucoup mieux ainsi que par quelque conjonction Soleil-Jupiter, avec les Accords d »Evian. On voit donc à quel point, l’ASQ signe la fin d’un cycle. Ce sera aussi le référendum sur l’élection du Président au suffrage universel, ce qui se réalisera en 1965, quand Jupiter passera fin taureau à l’opposé du soleil de De Gaulle, à mi parcours de l’ASQ.Or, pour nous, conjonction et opposition forment un axe qui vient croiser à 90° l’ASQ. De Gaulle est alors réélu. Autrement dit, il a mis fin et à la guerre d’Algérie et aux séquelles de la IVe République quant à l’élection du Président et au statut du Premier Ministre/Président du Conseil. Autrement dit, en mai 68, De Gaulle termine un nouveau cycle de six ans et il pense qu’il a atteint ses objectifs. Il peut passer la main et c’est le message qui passe dans l’opinion, de façon plus ou moins subconsciente.D’où l’épisode de Baden Baden. Il dissout l’Assemblée Nationale et obtient une majorité parlementaire confortable. Il démarre un nouveau cycle de 6 ans, avec le référendum d’avril 1969 mal préparé comme tout ce qui s’inaugure en début de cycle et ce sera sa démission. Pompidou lui succédera et De Gaulle décédera l’année suivante, ce qui est un point tout à fait extra-astrologique, même si sa mort est liée à la situation, beaucoup plus que dans le cas de celle de Staline dont l’ASQ va de 27° vierge à 27° poissons. Au début de 1953, lorsqu’il décéde, Jupiter est à la fin du taureau, soit à mi parcours de son hémicycle (conjonction à la fin des Gémeaux). Staline n’était donc pas alors dans les affres de la quadrature de Jupiter à son soleil et sa mort ne s’inscrit donc pas dans un tel schéma. Voilà donc sacrée l’astrologie de l’après Barbault avec ce nouvel outil prenant la place d’une astrologie qui aura fait long feu puisque nous parvenons sous peu à un nouvel ASQ pour notre part. (8° vierge-8° poissons) JHB 13. 03 13

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