Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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samedi 27 mars 2021

jacques Halbronn L'importance des milieux de phase en astrologie cyclique : semi carré et sesqui carré

jacques Halbronn L’importance des milieux de phases en Astrologie cyclique Si nous n’accordons aucune importance à la position des planètes dans les signes ou dans les constellations, comme nous l’avons expliqué dans une précédente étude, nous pensons que le cycle des saisons est utile pour analyser le processus cyclique en soi. D’où l’importance à accorder aux milieux de saison, d’autant que cela correspond au tétramorphe, c’est à dire aux signes dits « fixes » (taureau, lion, scorpion, verseau) qui constituent l’image du Sphinx.(cf notre prologue à Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, Paris, Albatros-Autre Monde, 1979) et que l’on retrouve dans la Bible, au Livre du prophéte Ezéchiel. Ces signes correspondent au semi-carré et au sesqui carré: semi carré (45°) entre la conjonction et le carré, sesqui carré (135°) entre le carré et l’opposition. De la même façon, le « plein » d’une saison n’est il pas son « milieu », son « coeur », ce qui vaut analogiquement pour une phase? Autrement dit, ce serait une grave erreur de focaliser l’astrologie cyclique sur la conjonction des deux astres composant le cycle ou sur leur quadrature car alors il s’agit de temporalités intermédiaires et ambivalentes. Le printemps ne se capte pas au moment de l’équinoxe pas plus que l’Eté au moment du solstice! Il faut attendre la vitesse de croisière, le sommet de la phase. D’où une division en huit si l’angle de 45° devient la référence, l’unité de temps et d’espace bien plus importante en astrologie cyclique qu’en astrologie rotationnelle, contrairement à ce que soutient Patrice Guinard axé sur la division du mouvement diurne en huit (le « dominion », site CURA. free.fr) L’erreur d’André Barbault aura été de surinvestir le moment de la conjonction au lieu de considérer les aspects de 45° entre les planètes formant cycle, ce qui décale singulièrement les échéances, surtout pour un cycle de 36 ans comme c’est le cas pour Saturne-Neptune. Décalage d’un huitième de cycle, soit 4 ans environ. On notera d’ailleurs que si 1989 a été important, la dislocation de l’URSS aura été un choc encore plus grave pour la Russie, deux ans plus tard, dans les tout derniers jours de l’année 1991. L’erreur aura été de ne pas prévoir le second temps du choc. Est ce que Barbault au lendemain de 1989 annonça ce qui allait se produire deux ans plus tard. En fait 1989 n’aura été qu’un prélude à la Chute de la Maison URSS. Dans le cas du cycle de Jupiter de 12 ans, chaque phase couvre 3 ans, ce qui équivaut aux 3 mois qui divisent une saison. A mi-parcours, on est à 18 mois pour l le milieu de phase. Il faudrait donc abandonner les prévisions axées sur le moment précis de la conjonction ou de la quadrature, notamment en transit et la tradition astrologique a bien raison de nous proposer le semi- carré et le sesqui-carré, qui sont la base de la division en huit secteurs, ce qui rend d’autant plus obsoléte la division en douze. Comme le reconnaissait d’ailleurs Barbault lui même, la conjonction est un aspect ambivalent comme tout ce qui inaugure une nouvelle phase. Ce que nous disons vaut évidemment pour l’aspect d’opposition qui doit laisser la place à un angle de 180° + 45° soit 225°. Or 360-225, cela donne 135 Ainsi, la prévision ratée de Barbault relative à l’opposition Saturne-Neptune post 1953, -pour 1971 – aurait du se faire pour une date plus tardive, augmentée de 4 ans.. Non pas que nous ayons quelque faveur pour le cycle Saturne-Neptune, en raison de notre rejet des planètes transsaturniennes, ce qui est le cas de Neptune. En ce qui concerne l’indice cyclique, l’on peut aussi réfléchir dans le même sens pour ceux qui s’intéressent à ce montage quelque peu baroque autour de cinq planètes, de Jupiter à Pluton. En conclusion il nous semble que l’idée d’une astrologie calquée sur l’astronomie au point d’accorder de l’importance au moment meme de la conjonction doit laisser la place à ce que nous observons au niveau saisonnier. C’est ainsi d’ailleurs qu’en ce moment, force est de constater, au lendemain de l’équinoxe de printemps 2021 que nous ne nous sentons pas encore complétement dans un temps printanier et notamment au vu de la végétation qui reste encore bien timide. JHB 27 03 21

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