Pour un outil astrologique à la portée de tous. La roue tourne.
par Jacques Halbronn
Il nous semble assez vain de chercher à découper un cycle en plus de deux phases comme les astrologues sont tentés de le faire quand ils se servent de tout l’arsenal des aspects dont ils disposent. D’ailleurs, d’une façon générale, l’astrologie souffre de façon chronique d’une surabondance de facteurs : trop d’aspects, trop de planétes, trop de secteurs zodiacaux, trop de maisons et chaque fois l’astrologue se croit obligé de couper les cheveux en quatre, de découper le gâteau en de plus en plus de parts, de plus en plus petites. On en arrive ainsi aux 144 voies de l’astrologie karmique selon Laurence Larzul, ce qui est à la fois peu et beaucoup. Mais tant qu’à faire, pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? Pourquoi ne pas se contente du principe d’altérité – nous et eux- et d’alternance, les uns puis les autres, à tour de rôle, aujourd’hui et demain : tel qui rit vendredi dimanche pleurera. On en est en pleine relativité!
Il faut comprendre que si l’on met l’accent sur l’observation, notre intelligence tend à faire apparaitre des différences majeures comme par exemple les hommes et les femmes, les périodes où le peuple obéit et d’autres où il s’impose.. Et c’est de là qu’il faut partir car tout le monde peut partager les mêmes constats. En revanche, si l’on part de ce que dit l’astrologie pour connaitre le réel, on sera seul à voir ce que l’on voit, cela ne pourra pas se partager.
Nous dirons qu’en ce qui concerne la cyclicité qui nous intéresse – et nous plaignons ces astrologues qui ont à gérer plusieurs cycles en paralléle- un coup par ci, un coup par là – on peut faire des bouquins dans ce genre à tiroirs mais on risque fort le hiatus avec les évidences que chacun peut observer et partager. Qu’est ce que c’est que cette astrologie où chacun aurait un modéle de vie différent de celui du voisin? Il faut que l’astrologie soit en phase avec la vie: s’il y a une presse féminine, ce n’est pas par hasard, s’il y a des tensions entre la rue et le pouvoir, cela ne peut être étranger à l’astrologie. Pourquoi donc, l’astrologie ne prend pas le taureau par les cornes et va se réfugier dans sa tour d’ivoire? On dirait que l’astrologie a peur des grands espaces, qu’elle se complait dans des espaces restreints, sans perspectives. Serait-elle agoraphobe?
Pour en revenir à nos moutons, comment donc décrire ce qui se passe au cours d’un cycle, ce qui est la base, le B-A BA, l’abc de tout processus prévisionnel? Nous plaignons ces astrologues- et notamment les auteurs de manuels- qui doivent trouver du travail pour tou ces facteurs dont l’astrologie est censée faire bon usage. Cela part dans tous les sens!:
Donc, pour l’Astro 7 – la sexo-cyclologie- les choses sont simples, c’est ergonomique comme les gens de nos jours aiment et le côté artisanal que cultivent tant d’astrologues atardés, cela date! L’astrologue qui a mis des années pour apprendre son art, c’est du passé. L’astrologue qui doit traduire en bon français un jargon imbuvable, c’est fini. On n’en est plus au temps des sténo-dactylos mais du libre service et quand on dit outil, on dit simplicité, facilité d’emploi pour tout un chacun, on veut de la transparence! Au fond, d’un côté il y a les désigners, les concepteurs et de l’autre le public. Et entre les deux, une population qui se plaint de l’ubérisation comme Laurence Larzul quand elle crie au scandale face à l’informatisation de l’astrologie. Il y a ceux qui construisent les voitures et ceux qui les conduisent: on n’a plus besoin des chauffeurs car chacun est capable de conduire! Une astrologie qui ne marche que s’il y a un astrologue qui la fait marcher n’est pas, n’est plus viable. C’est là le test! Il n’y a pas à traduire parce que les données astrologiques n’ont plus besoin de savants mélanges, de synthèses acrobatiques. Plus besoin de cours d’astrologie si le produit est bon. En revanche, quand le produit est mauvais, seul un artiste sera capable d’en tirer quelque chose!
Evidemment, si la personne a besoin de se considérer comme un cas à part, elle sera tentée par le karma qui est sous tendue par l’idée que nous avons tous une histoire et des enjeux qui nous sont propres. L’exception devient la régle.On ne veut surtout pas être mis dans le même sac que notre prochain, logé à la même enseigne!.
Quid des personnes qui ne veulent pas qu’on leur mette la même étiquette qu’à des millions de gens, qui ne comprennent pas que toute situation a ses bons et ses mauvais cotés. Autrefois, les gens étaient fiiers de faire partie du peuple, d’être employé mais de nos jours, notamment dans les professions libérales, être assimilé à des gens qui sont plutôt en bas de l’échelle sociale, c’est humiliant. Tout le monde veut être au top. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre : il y a le peuple, la masse et il y a l’élite, les chefs. Tout astrologue qui se respecte doit accepter cette vérité car elle nous interpelle dans la vie de tous les jours. DE deux choses l’une : ou bien l’on est à sa place dans la masse, ou bien l’on est quelqu’un qui sort du rang. Et de même que ce n’est pas toujours rose d^être dans la masse, cela ne l’est pas nécessairement à tout moment d’être un chef! La roue tourne. Le mieux c’est de savoir quelle est sa place et de profiter des moments où c’est son tour d’en profiter. Et précisément, c’est le fonctionnement de cette « roue » qui nous intéresse en Astro 7, en sexo-cyclologie. Ce ne sont pas toujours les mêmes numéros qui gagnent alors à quoi bon se disputer sous prétexte qu’on aurait un numéro qui ne gagnerait jamais? On a vu récemment des femmes astrologues crier au scandale parce qu’on leur osait leur rappeler qu’elles étaient aussi des femmes et qu’être une femme, cela avait ses avantages et ses inconvénients! Est ce que préférer se dire que l’on est de tel signe, de telle planéte y changera quoi que ce soit? On se retrouve alors avec des numéros qui n’ont aucune chance de gagner parce qu’ils ne sont même pas dans la course. L’astrologue doit être capable de faite entendre raison à ceux qui s’adressent à lui. Si lui même est mal dans ses bottes, cela ne le fera pas.
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JHB
08 08 16
par Jacques Halbronn
Il nous semble assez vain de chercher à découper un cycle en plus de deux phases comme les astrologues sont tentés de le faire quand ils se servent de tout l’arsenal des aspects dont ils disposent. D’ailleurs, d’une façon générale, l’astrologie souffre de façon chronique d’une surabondance de facteurs : trop d’aspects, trop de planétes, trop de secteurs zodiacaux, trop de maisons et chaque fois l’astrologue se croit obligé de couper les cheveux en quatre, de découper le gâteau en de plus en plus de parts, de plus en plus petites. On en arrive ainsi aux 144 voies de l’astrologie karmique selon Laurence Larzul, ce qui est à la fois peu et beaucoup. Mais tant qu’à faire, pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? Pourquoi ne pas se contente du principe d’altérité – nous et eux- et d’alternance, les uns puis les autres, à tour de rôle, aujourd’hui et demain : tel qui rit vendredi dimanche pleurera. On en est en pleine relativité!
Il faut comprendre que si l’on met l’accent sur l’observation, notre intelligence tend à faire apparaitre des différences majeures comme par exemple les hommes et les femmes, les périodes où le peuple obéit et d’autres où il s’impose.. Et c’est de là qu’il faut partir car tout le monde peut partager les mêmes constats. En revanche, si l’on part de ce que dit l’astrologie pour connaitre le réel, on sera seul à voir ce que l’on voit, cela ne pourra pas se partager.
Nous dirons qu’en ce qui concerne la cyclicité qui nous intéresse – et nous plaignons ces astrologues qui ont à gérer plusieurs cycles en paralléle- un coup par ci, un coup par là – on peut faire des bouquins dans ce genre à tiroirs mais on risque fort le hiatus avec les évidences que chacun peut observer et partager. Qu’est ce que c’est que cette astrologie où chacun aurait un modéle de vie différent de celui du voisin? Il faut que l’astrologie soit en phase avec la vie: s’il y a une presse féminine, ce n’est pas par hasard, s’il y a des tensions entre la rue et le pouvoir, cela ne peut être étranger à l’astrologie. Pourquoi donc, l’astrologie ne prend pas le taureau par les cornes et va se réfugier dans sa tour d’ivoire? On dirait que l’astrologie a peur des grands espaces, qu’elle se complait dans des espaces restreints, sans perspectives. Serait-elle agoraphobe?
Pour en revenir à nos moutons, comment donc décrire ce qui se passe au cours d’un cycle, ce qui est la base, le B-A BA, l’abc de tout processus prévisionnel? Nous plaignons ces astrologues- et notamment les auteurs de manuels- qui doivent trouver du travail pour tou ces facteurs dont l’astrologie est censée faire bon usage. Cela part dans tous les sens!:
Donc, pour l’Astro 7 – la sexo-cyclologie- les choses sont simples, c’est ergonomique comme les gens de nos jours aiment et le côté artisanal que cultivent tant d’astrologues atardés, cela date! L’astrologue qui a mis des années pour apprendre son art, c’est du passé. L’astrologue qui doit traduire en bon français un jargon imbuvable, c’est fini. On n’en est plus au temps des sténo-dactylos mais du libre service et quand on dit outil, on dit simplicité, facilité d’emploi pour tout un chacun, on veut de la transparence! Au fond, d’un côté il y a les désigners, les concepteurs et de l’autre le public. Et entre les deux, une population qui se plaint de l’ubérisation comme Laurence Larzul quand elle crie au scandale face à l’informatisation de l’astrologie. Il y a ceux qui construisent les voitures et ceux qui les conduisent: on n’a plus besoin des chauffeurs car chacun est capable de conduire! Une astrologie qui ne marche que s’il y a un astrologue qui la fait marcher n’est pas, n’est plus viable. C’est là le test! Il n’y a pas à traduire parce que les données astrologiques n’ont plus besoin de savants mélanges, de synthèses acrobatiques. Plus besoin de cours d’astrologie si le produit est bon. En revanche, quand le produit est mauvais, seul un artiste sera capable d’en tirer quelque chose!
Evidemment, si la personne a besoin de se considérer comme un cas à part, elle sera tentée par le karma qui est sous tendue par l’idée que nous avons tous une histoire et des enjeux qui nous sont propres. L’exception devient la régle.On ne veut surtout pas être mis dans le même sac que notre prochain, logé à la même enseigne!.
Quid des personnes qui ne veulent pas qu’on leur mette la même étiquette qu’à des millions de gens, qui ne comprennent pas que toute situation a ses bons et ses mauvais cotés. Autrefois, les gens étaient fiiers de faire partie du peuple, d’être employé mais de nos jours, notamment dans les professions libérales, être assimilé à des gens qui sont plutôt en bas de l’échelle sociale, c’est humiliant. Tout le monde veut être au top. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre : il y a le peuple, la masse et il y a l’élite, les chefs. Tout astrologue qui se respecte doit accepter cette vérité car elle nous interpelle dans la vie de tous les jours. DE deux choses l’une : ou bien l’on est à sa place dans la masse, ou bien l’on est quelqu’un qui sort du rang. Et de même que ce n’est pas toujours rose d^être dans la masse, cela ne l’est pas nécessairement à tout moment d’être un chef! La roue tourne. Le mieux c’est de savoir quelle est sa place et de profiter des moments où c’est son tour d’en profiter. Et précisément, c’est le fonctionnement de cette « roue » qui nous intéresse en Astro 7, en sexo-cyclologie. Ce ne sont pas toujours les mêmes numéros qui gagnent alors à quoi bon se disputer sous prétexte qu’on aurait un numéro qui ne gagnerait jamais? On a vu récemment des femmes astrologues crier au scandale parce qu’on leur osait leur rappeler qu’elles étaient aussi des femmes et qu’être une femme, cela avait ses avantages et ses inconvénients! Est ce que préférer se dire que l’on est de tel signe, de telle planéte y changera quoi que ce soit? On se retrouve alors avec des numéros qui n’ont aucune chance de gagner parce qu’ils ne sont même pas dans la course. L’astrologue doit être capable de faite entendre raison à ceux qui s’adressent à lui. Si lui même est mal dans ses bottes, cela ne le fera pas.
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JHB
08 08 16
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